4 Kasım 2011 Cuma

Erving Goffman et Facebook: La présentation de soi dans la vie quotidienne selon Goffman et ses réflexions sur Facebook dans le monde d’aujourd’hui

Introduction

A partir de 1997, les sites Web de réseautage social sont devenus très populaires, il y a plaines de raisons pour les utiliser dans le monde d’aujourd’hui mais dans ce travail on va regarder au Facebook avec les lunettes de Goffman parce que Goffman nous fournit un bon point de départ pour explorer l'identité en ligne sur les sites de reseautage social, surtout sur Facebook. Avant tout, il faut souligner qu’il a fait ses analyses dans les années 1950 sur ‘’la présentation de soi dans la vie quotidienne’’, dans une ère sans  Internet, donc il faut lire ses théories dans le cadre des  interactions de face à face. Ce qui est intéressant, c’est voir les réflexions des analyses de Goffman dans les interactions en ligne d’aujourd’hui. Donc il est claire que avec ses concepts principaux, on ne peut pas complètement comprendre l’identité en ligne sur Facebook mais ses concepts sont utiles pour lier l’individu en ligne et l’individu hors ligne. Dans ce cadre, le but de ce travail est de mettre les points communs et différents entre l’identité en ligne sur Facebook et les concepts de Goffman sur la présentation de soi dans la vie quotidienne. Donc pour venir au tableau de Goffman et Facebook, premièrement il faut faire une définition des sites Web de réseautage social et rédiger son histoire. Puis dans le deuxième partie, on va voir le phénomène Facebook avec sous titres de son histoire et sa structure et dernièrement, dans la troisième partie, on va examiner le sujet de Goffman et Facebook ensemble. Pour réaliser ce travail, j’ai lu le livre ‘’La mise en scène de la vie quotidienne, la présentation de soi’’ de Goffman et j’ai fait des autres recherches sur Internet. Il faut souligner que il y à peu pres cinquante années entre les analyses de Goffman et la naissance de Facebook. Donc il est possible de noter que les analyses de Goffman sont encore dynamiques pour nommer quelques comportements des individus sur Facebook.

 I.        Les reseaux sociaux: Les sites Web de réseautage social
i.        Definition
Les sites des reseaux sociaux sont devenus des nouvelles manies des gens depuis 1997. Avec l’expansion inextinguible de l’internet sur le monde, le poids des reseaux sociaux a augmenté dans le monde virtuel. Avant passer à sa histoire, il faut faire une definition des reseaux sociaux: ‘’Les sites de réseaux sociaux, comme les services Web, permettent aux individus de (1) construire un profil public ou semi-public au sein d'un système limité, (2) définir une liste des autres utilisateurs avec lesquels ils partagent une connexion, et (3) visualiser et parcourir la liste de leurs connexions et celles faites par d'autres au sein du système. La nature et la nomenclature de ces connexions peuvent varier d'un site à l’autre’’.

  ii.        Histoire

Selon Danah M.Boyd et Nicole B. Ellison, le premier site de réseau social est né en 1997. Il s'appelait ‘’sixdegrees.com’’. Selon eux, ‘’ ‘Classmates.com’ qui est né en 1995’ a permis aux gens de s'affilier à leur école secondaire ou à leur collège et surfer sur le réseau des autres qui ont été également affilié, mais les utilisateurs ne pouvaient pas créer des profils et des listes d'amis. SixDegrees a été le premier à combiner ces caractéristiques’’.
L’histoire des quelques sites de reseautage est rédigée comme suivante: ‘’ ‘Epinions qui introduisait le cercle de confiance en 1999, suivi par les équivalents européens ‘Ciao, Dooyoo et ToLuna. C'est à partir de 2001 que des sites web de réseautage social en ligne ont commencé à apparaître. Cette forme de réseautage social, couramment employée au sein des communautés en ligne, est devenue particulièrement populaire en 2002 et a fleuri avec l'avènement du site web appelé ‘’Friendster’’. Friendster utilise le modèle de réseautage social du "cercle d'amis" (développé par l'informaticien britannique Jonathan Bishop en 1999). Il existe plus de 200 sites de réseautage social. La popularité de ces sites a rapidement grossi, à tel point qu'en 2006, MySpace a obtenu la plus haut taux de pages visitées que le moteur de recherches Google mais aujourd’hui, Facebook est le deuxième site le plus visité au monde après google.com’’. On peut dire que les sites des reseautages sociaux sont devenus populaires avec une grande vitesse mais quand on regarde au nombre de ses utilisateurs, c’est Facebook qui est devenu un monopole sans rival dans le monde d’Internet.

 II.        Le Phénomène Facebook

 i.        Histoire

Facebook est un réseau social créé par Mark Zuckerberg le 4 février 2004 et destiné à rassembler des personnes proches ou inconnues. L'inscription a d'abord été limitée aux étudiants de l'université de Harvard et dès le premier mois, plus de la moitié de la population de l'université de Harvard était inscrite sur le service. En mars 2004, Facebook s'est élargi aux universités de Stanford, Columbia et Yale. Cette expansion a continué avec l'ouverture de Facebook à l'Ivy League et aux écoles de la région de Boston et, progressivement, à la plupart des universités au Canada et aux États-Unis. En juin 2004, Facebook a déplacé sa base à Palo Alto, en Californie. À cette époque, pour rejoindre au réseau, il fallait une invitation. Facebook a ensuite élargi ses membres aux employés de plusieurs entreprises comme Microsoft et Apple Inc.. Facebook a enfin été ouvert le 26 septembre 2006 à toutes les tranches d'âge à partir de 13 ans avec une adresse électronique valide. Aujourdhui, il y a plus de 400 millions d’utilisateurs actifs de Facebook.
          
  ii.        Structure de Facebook
       
En commençant à comprende Facebook, il est important de tenir compte exactement les fonctions du site, sa structure et l'identité ce qui peut être réformée. Un profil de Facebook se compose de plusieurs domaines de l'information d’une personne. Ces sont les sections intitulées comme ‘’information’’, ‘’éducation’’ et ‘’travail’’. Au sein de ces sections les plus marqués sont des espaces pour entrer des données spécifiques telles que ‘’ville actuelle’’, ‘’situation amoureuse’’ et ‘’films préférés’’." Dans certains espaces, l'utilisateur peut entrer la grande partie du texte. Dans les autres, on est confiné à une seule ligne de texte. Une grande partie des entrées dans le profil cependant doit être choisis parmi les menus déroulants, qui donnent un nombre d'options limités mais au moins aujourd’hui on est plus liberal d’ecriver les opinions politiques ou la  préférence religieuse, l’utilisateur peut entrer dans ces espaces ce qu’il veut. Un profil se compose également d'une image principale de l'utilisateur que chacun peut visualiser, même ceux qui ne peuvent accéder au reste de leur profil. Les utilisateurs ont également l'espace pour les albums de photos, qui ne peut être vu par les utilisateurs bloqués.

Une autre partie principale de Facebook est la liste des groupes que l'utilisateur attache à son profil. Les groupes sont créés par les utilisateurs de Facebook autour d'intérêts communs, les expériences ou les causes. Elles peuvent être ouvertes à toute personne à adhérer ou le créateur d'un groupe peut se réserver le droit d'approuver l'ensemble de ses membres. Le nombre et les noms des amis sont également visibles que l’on a sur Facebook. Les amis sont accumulés à la fois en demandant à d'autres utilisateurs de Facebook et en étant posées et puis confirmez que vous êtes "amis". Lorsque d'autres utilisateurs consulte le profil d'une personne, le profil montre les amis, quand les deux personnes sont en commun.
Une nouvelle partie de Facebook est le fil d’actualite d'une personne. Ceci est la page qui s'affiche lorsque l'on signe sur Facebook. Il contient des nouvelles, les amis plus récentes et  les modifications apportées à leurs profils. Les anniversaires prochains des amis sont également inscrites au fil d’actualite. Le fil d’actualite affiche toutes les demandes d’amis, des messages ou des pokes. Les messages sont similaires aux messages d’e-mail, ils restent privés entre les individus.

III.        Goffman et Facebook

i.              Qui est Goffman?
          
Erving Goffman est un sociologue, linguiste américain d'origine canadienne né à Mannville, Alberta (Canada), le 11 juin 1922 et décédé à Philadelphie, en Pennsylvanie, le 19 novembre 1982. Avec Howard Becker, il est un des principaux représentants de la deuxième École de Chicago. Goffman entreprend des études de sociologie à l'université de Toronto (1944) où il est l'élève de Ray Birdwhistell, puis à l'université de Chicago (1945) où il est l'élève de Herbert Blumer et Everett Hughes. En 1952 il part pour les îles Shetland, au nord de l'Écosse, observer la vie locale pendant douze mois. Il se fait passer pour un étudiant intéressé par l'économie agricole : en réalité, il collecte des données pour sa thèse de doctorat qu'il soutient en 1953.
          
Déménageant en 1954 pour Washington, accompagné de son épouse Angelica Choate et son fils Tom, Goffman décide d'aller vivre plusieurs mois parmi des malades mentaux, au sein de l'hôpital psychiatrique de Sainte-Elisabeth à Washington, pour observer la vie des reclus. Enseignant à l'université de Californie de Berkeley depuis 1958, il est nommé professeur en 1962. Entre temps, il a publié Asiles, sur base de son séjour dans la clinique de Sainte-Élisabeth, introduisant la notion d'institution totale. En 1963, il publiera Stigmate. Son épouse sombre dans la folie et se suicide en 1964.
          
Il se centre non sur l'individu, mais sur l'interaction, usant de métaphores didactiques. Avec La présentation de soi (la mise en scène de la vie quotidienne, tome 1), il développe la métaphore théâtrale, considérant les personnes en interaction comme des acteurs qui mènent une représentation. Dans Les Rites d'interaction, il parle de métaphore du rituel pour rendre compte des rencontres face à face. En 1968, Pierre Bourdieu fait publier son œuvre en français aux Éditions de Minuit. Après un séjour à Harvard, au Center for International Affairs, il occupera une chaire à l'université de Pennsylvanie où il retrouve Ray Birdwhistell de 1968 à 1982. En 1974, il publie Les Cadres de l'expérience, s'inspirant de la métaphore cinématographique. La vie est, selon lui, composée de multiples constructions de la réalité, des cadrages, qui s'articulent les uns aux autres. En 1981, il se remarie avec Gillian Sankoff, avec laquelle il a une fille, Alice. Il meurt le 20 novembre 1982 à 60 ans.

 i.              Goffman et Facebook

Dans les années 1950, Erving Goffman a discuté ‘’la présentation de soi dans la vie quotidienne’’ à travers des interactions de face à face. Selon lui, ‘’La vie est une scène et l’individu est un acteur qui réalise un spectacle devant un public’’. Goffman analyse l'interaction sociale par l'application des termes de théâtre. Ses notions et ses idées sur la performance se prêtent à l'interprétation de l'interaction de Facebook assez facilement. Les deux termes de théâtre qu'il utilise sont ‘’avant-scène’’ où un individu exécute devant un public et ‘’l’arrière-scène (les coulisses)’’, c’est être à la maison ou d'être avec des gens on connaît bien dans des situations plus détendus, plus privés. Quand on est devant de la scène, l'individu agit toujours d'une manière qu'il estime la situation le justifie. Par exemple, un garçon se fait agir en tant que serveur, parce que c'est ce qu'on l’attend, ou ce qu'il croit que le public l’attend. Dès qu'il entre dans les portes de la cuisine, il peut agir de manière plus ou moins informelle, plaisanter avec ses collègues ou fumer etc. L'essence de la théorie de Goffman est que l'on est toujours tenter de contrôler la situation dans laquelle on se livre à une interaction sociale, par agissant dans la manière dont on estime qu'elle devrait être agi, dans le but de contrôler la situation et de se présenter de la meilleure façon possible devant le public.
Dans le premier chapitre de son livre, Goffman a fait ses analyses sur le sujet de ‘’Représentations’’ et il la définit comme suivante : ‘’C’est la totalité de l’activité d’une personne donnée, dans une occasion donnée, pour influencer d’une certaine façon un des autres participants’’. Donc il y a l’interaction bidirectionnelle, c’est-a-dire on montre ce que les autres attendent de nous. De plus, la présentation de soi reste fragile, elle peut s’écrouler de manière involontaire comme elle peut être manipulée de manière volontaire. Dans ce cadre, il utilise de deux notions principales : Les expressions verbales  et les impressions non verbals. Ce qu'un individu donne est essentiellement verbal: c'est l'effort que  le participant fait de transmettre information. Goffman affirme que ce qu'un individu donne n'est pas intentionnel. C’est quelque chose que l'autre participant prend de comment ils sont habillés, la façon dont ils parlent, ou même leur maniérismes général. Dans le domaine de Facebook, ces deux concepts de Goffman sont évidents, mais d'une manière nouvelle : Les informations affichées d'un utilisateur peut être considéré comme ce qui ils ‘’expriment’’ mais au lieu d'interaction verbale, l'utilisateur donne volontairement des informations dans les espaces fournis. Cela signifie que l'information qui est ‘’donnée’’, est donnée consciemment, afin de contrôler la perception des autres. D’autre part, ce que l'utilisateur donne comme ‘’l’impression’’ est des images, des messages sur le mur, des groupes adhérés, les événements qu’ils ont l’intention de participer et même le nombre d'amis d'un utilisateur. Les impressions composées de signes divers dépendent des perceptions des autres.

Goffman observe que, dans notre vie quotidienne, nous nous présentons dans un certain nombre de contextes distincts. C'est ce qu'il appelle ‘’la séparation du public’’ et l'idée est que nous adaptons nos présentations en fonction de l'auditoire actuel. Par exemple notre changement des rôles est quand nous quittons une entrevue d'emploi pour sortir avec des amis. Il également propose un contraste entre l'avant-scène et l’arrière-scène. Les coulisses (l’arrière-scène) sont inaccessibles au public, c'est cet espace où les acteurs peuvent sortir de caractère. Pour Goffman, il y a une distinction relative parce quand il y a deux ou plus personnes dans les coulisses, il y a un aspect performatif en général. Dans ce point, on peut dire que Facebook devrait être considérée comme l’avant-scène où les gens construisent des identités dans le cadre de leur performance devant un public. Les gens créent des groups et des accessoires symboliques, tout comme ils le font dans la performance de face-à-face. Toutefois, Facebook complique certaines tâches de construction d'identité telles que la séparation du public; l'acteur tente d'effectuer des identités différentes pour différents groupes de personnes. Donc les individus remplissent des rôles différents dans des contextes différents, devant un auditoire différent. Cela peut être une tâche difficile sur Facebook, un site où potentiellement l'ensemble du public peut voir des performances. L'impossibilité de séparer le public peut devenir problématique si un individu est observé de jouer des rôles multiples ou contradictoires. Un acteur interprète ou exécutant, soit en ligne ou non, donc essaye "de séparer son public afin que les personnes qui le témoin dans l'un de ses rôles ne sont pas les individus qui le témoin dans une autre de ses rôles’’. Un interprète doit être prudent car le public est toujours essaye d'évaluer la sincérité d'une performance, acceptant tous les signes, mais peut-être les interpréte negativement.

Facebook semble être une plate-forme où l'on «joue» au sens traditionnel, mais il y a également nombreuses interactions possibles sur Facebook, qui ne rentrent pas dans cette catégorie. Il semble que sur Facebook, on cherche à contrôler une situation, ou la rencontre, en afin de parvenir à un résultat précis. Par exemple afficher une vidéo pour des tiers à voir est probablement fait pour recevoir une réponse, parce que il y a la possibilité de commenter. D'autre part il n'ya pas de perception immédiate par le public de la situation proposée, ce qui signifie que le processus de communication est plus lent sur Facebook. Il prend plus de temps pour obtenir des renseignements à arriver et il est plus difficile pour un personne de savoir quelle l'information est ‘’donnée’’ et quelle est ‘’émis’’.

Toutefois, il existe de nombreuses raisons conviennent d'appliquer l'analogie du théâtre de Goffman à Facebook. Facebook pourrait être considéré comme une extension de l'interaction sociale quotidienne. Il est possible d'avoir conversations privé et semi privé sur Facebook  mais ce n’est pas comme dans les catégories décrites par Goffman parce dans l’analyse de lui, il y a une différence du temps et du lieu entre avant-scène et arrière-scène. Sur Facebook il n y’a pas de différence entre eux. Donc Facebook change la notion classique, c'est parce que les amis peuvent voir les interactions en ligne, à la fois sur leur propre page et sur un profil spécifique. L'option permettant de désactiver un grand nombre de notifications sur ses actions à des amis est disponible et permettre de réduire la transparence de l'accès à l’arrière de scène et avant-scène. Il en résulte une situation où l'on est à la fois devant de la scène et à l'arrière-scène dans le même temps, puisque la communication contenant renseignements qui seraient habituellement considéré comme privé, est souvent posté sur le mur de son profil. Au lieu d'une exécution volontaire, dans le sens de contrôler le résultat d'une situation, nous avons une performance constante consistant l'ensemble du profil, où le public a délibérément l'accès aux des photos, mais également diverses observations formulées par d'autres personnes, ceux qui pourraient ou non être des amis avec de nature privée. L'effet final est donc une rupture d'une répartition claire entre l’arrière-scène et l'avant-scène, public et privé.
       
Une autre théorie de Goffman sur l'interaction sociale est que les gens sont constamment tenter d'éviter moments ‘’embarrassants’’, qui sont des moments inacceptables devant de la scène, mais peut-être  acceptable ou normale arrière de la scène, afin de ne pas briser la vision ou la performance de l'acteur ou l'équipe souhaite à donner. Par moments embarrassants, Goffman désigne moments où l'image que l'acteur veut présenter ne s'arrête inattendus, par exemple, tout d'un coup éternuements ou de dire quelque chose de totalement inconvenant, ou même des événements qui peuvent se briser une performance mais sur Facebook on a toujours plus de temps. Il ya une autre différence importante entre Facebook et l’interaction quotidienne. Dans les interactions de face à face, il y a beaucoup de spontanéité apparente ce que Goffman appelle ‘’une spontanéité non calculée". Les expressions faciales, gestes de la main, et même certains types de discours…comme Goffman note, ils pourraient être calculée aussi. Sur Facebook, par contre, il n'y pas de situation spontanée. On est tout conscient du fait que chaque fil d’actualité est un acte conscient. Il y a en d'autres termes une connaissance mutuelle de la performance que la performance mais il y a une exception : Les photos d’identifications. Par exemple, une personne peut agir d'une manière qui convient à une fête d'anniversaire d’une ami, mais la photo prise par une personne avec un téléphone portable et téléchargé sur Facebook ne pouvait pas appropriée pour l’entrevue du emploi et il peut être représentatif. Malgré les actions d'une personne dans le domaine d’interaction de face-à-face, Facebook peut compromettre l'une de présentation préféré de soi par la présentation des informations ou des images qui peuvent être mal interprétés par autres. Aujourd'hui, non seulement les individus feront  des conclusions sur l'autre suivant les interactions de face-à-face, mais ils peuvent aussi regarder à la page de Facebook afin de glaner renseignements supplémentaires et aux inférences complémentaires à leur sujet. Ce nouveau pré / post recherche interaction sociale qui prend place sur Facebook peut devenir problématique quand il est menées par des personnalités d’autorité comme la police ou les potentiels  d’employeurs.

Conclusion

Comme nous l'avons indiqué précédemment, la notion de devant de la scène est un lieu d'exécution, tandis que l’arrière-scène est plus privé. Les adolescents se sentent plus à l'aise avec les autorités, les parents, enseignants et autres adultes qu'auparavant. Comme indiqué précédemment, la relation entre enfants et des adultes est devenue plus détendue et mutuelle. Cette fois, soutient notre argument plus tôt que l'avant-scène et arrière-scène se chevauchent. Sur Facebook, les frontières sont changés, parce que les gens sont assis dans un lieu privé, atmosphère sécuritaire alors qu'ils sont en interaction avec d'autres en ligne. Selon Goffman, les gens se présentent et d'agir d'une manière que la situation le justifie. Une tente de contrôler le résultat d'une interaction par présenter certains côtés de son identité en utilisant des accessoires tels qu’une robe par exemple. Depuis Facebook n’est pas une situation dans le sens traditionnel où l'acteur à la possibilité immédiate de modifier le résultat, il est logique pour nous de supposer que, en particulier, le profil image est choisi avec un grand soin et la connaissance de perception de l’audience est possible.

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